LES OISEAUX DU SAMBATHYON L’origine hébraïque du peuple Congolais

Quand les mots perdent leur sens, les hommes perdent leur liberté, dit Conficius, et mal nommer les choses c’est en ajouter aux malheurs du monde, dit Albert Camus ; c’est, particulièrement, en ajouter aux malheurs de l’Afrique Centrale.

Sont mal nommés :

  • L’Afrique, au lieu d’Éthiopie, poteau indicateur de la géographie de référence dans les bibles et de nos traces indélébiles ;
  • Le fleuve Congo, au lieu de Sambàsàmbà ou Sambathyon, le second fleuve de l’Éthiopie au-delà duquel est l’asile des Dix Tribus Perdues d’Israélites de sang ;
  • Les Bantous, au lieu des Sémites des Dix Tribus Perdues d’Israélites;
  • La colonisation du Congo, au lieu de Croisade Antisémite, Lushiòwà, commencée avant la Shoah et toujours en cours ; entreprise de Grand Remplacement de l’Allemand Léopold II de Saxe-Cobourg Gotha, sous le mot d’ordre « Aperire terram gentibus», entreprise reprise et poursuivie par les Hamites, par procuration, par mimétisme, avec la même cupidité, avec la même cruauté et les mêmes vues.

Les Oiseaux du Sambathyon rétablit l’authenticité des choses et, devant l’alignement des astres, il annonce le renversement des perspectives et les raisons d’espérer pour les Sémites authentiques, en proie à Lushiòwà à l’aune de l’Himalaya, dans l’indifférence du monde voire sous ses applaudissements implicites ! Il sonne le tocsin de la Fin de leur Dispersion, de la Fin de Nshiòwà et du Retour des Déportés pour le Rassemblement dans le Bassin du Congo. Il leur annonce les Lendemains qui chantent.

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