LA LANGUE ANGLAISE : à cœur ouvert

Description

Des écrits foisonnent, qui portent sur la langue anglaise : ils rivalisent, de mieux en mieux, de recettes de sa maîtrise.

Ce livre est un livre à part ; ce n’est pas un livre de plus, car, si, de l’Égypte Antique, je trempe ma plume dans l’encre de Chine, pour l’écrire et le proposer au public, c’est que j’ai découvert quelque chose de particulièrement intéressant, à partager avec la multitude de gens, dans le monde francophone, qui sont aux prises avec la langue de Shakespeare : j’ai, en effet, découvert un boulevard, un immense raccourci ! Et, selon une habitude courante, sous les Tropiques d’Afrique, il sied d’inviter moult gens, au partage de l’éléphant, que l’on vient de terrasser, bien fièrement.

Non, l’orthographe de l’anglais n’est pas chaotique ! Elle est sophistiquée; elle n’est pas servile; elle est raisonnée; elle est conditionnelle, éclectique; elle relève d’une phonologie propre assortie de plusieurs règles de réduction de sa polysémie, règles abordables en plérèmes de prononciation des mots, selon leur statut grammatical, selon leur étendue ou selon leur signification, règles qui font, de l’anglais, une langue analogique, universalisable, par cryptanalyse !

En effet, selon la préconisation de la théorie de “cube”, de l’Égypte Antique, l’anglais, langue monosyllabique, compte 6 verbes de base : ses 6 voyelles contractées. Celles-ci se déclinent en voyelles longues et se composent en diphtongues, pour couvrir des thèmes complémentaires : des graphies à 2 voyelles ou à voyelle assortie de cheville expriment, chacune, une situation définie, dans la gamme de situations couvrant chaque thème vocalique.

A ces voyelles toniques, s’antéposent des consonnes modales et se postposent des consonnes objectales : pour former des étymons aux nuances thématiques plus fines. Spécifiées, les modales, sont, dans la description, ce que sont les modes de conjugaison, dans la narration : elles sont classées et hiérarchisées. Les consonnes modales, comme les consonnes objectales, se composent : pour créer des sous-catégories, dans le sillage des étymons simples, aux fins d’affiner encore plus les nuances des thèmes assumés par les verbes de départ. L’ensemble de ces règles sémantiques, élaborées, sans doute, par des clercs dans leurs couvents, fait, de l’anglais, langue descriptive, une algèbre symbolique et rend ses mots analogiques de compréhension aussi immédiate que celle des nombres en chiffres. Il en ressort une pédagogie qui s’inscrit en faux : devant la proclamation, urbi et orbi, faite par la pédagogie empirique, que l’orthographe phonologique de l’anglais est chaotique et qu’elle requiert le psittacisme et un fréquent exercice de mémoire. De toute évidence, elle joint, à une grammaire facile, une sémantique facile, de sorte que, par elle, s’ouvre et se pave la voie de l’universalisation de la langue anglaise.

L’ouvrage s’adresse, vivement, à ceux qui enseignent l’anglais, à ceux qui étudient et qui apprennent l’anglais ainsi qu’à ceux qui sont curieux d’observer le jeu que joue le logiciel mental anglais.

Une nouvelle linguistique, une nouvelle pédagogie : où, dans une vision d’adulte, l’on étudie d’abord et puis apprend, où l’on analyse d’abord le roman des lettres et où ensuite on en apprend la mise en musique, en mode sans échec, …

Un simple livre ou un effet papillon ?

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